Francisco Lindor semble parfois un brin oublié à New York. Il est chez les Mets depuis quelques années, mais on dirait qu’il fait partie des meubles chez les Mets.
C’est peut-être parce que ça a tellement bougé autour de lui qu’on a ce sentiment-là?
Tout ça pour dire qu’après une première saison chaotique à New York en 2021, il a pris ses aises et il est prêt à passer au prochain niveau.
À sa première année dans le Queens, il n’avait pas Buck Showalter. Est-ce que la différence est là pour le joueur d’arrêt-court? C’est possible puisque toute la famille Lindor aime Buck.
Et ça, Francisco ne se fait pas prier pour le répéter à qui veut bien l’entendre.
En entrevue récemment, Lindor a affirmé que « Buck Showalter était responsable de 20 victoires des siens par année » et qu’il était un gérant très apprécié.
Le fait que Showalter soit un meneur, qu’il ait une bonne direction, qu’il soit l’ultime compétiteur, qu’il soit connaissant et qu’il n’ait pas peur de prendre des décisions sont des qualités qui sautent aux yeux de son joueur d’arrêt-court.
Il aime voir le gérant prendre des décisions sans qu’elles n’aient été prises que parce que les stats avancées voulaient que ce soit ainsi.
Selon lui, ça rend les joueurs imputables… et Showalter tente de montrer des façons de faire à Lindor pour l’inciter à devenir un gérant un jour. Le Portoricain n’est pas rendu là, mais qui sait?
Bref, l’impact de Showalter est important chez les Mets et cela explique le sentiment de confiance pour la suite des choses à New York.
