Avec la grandeur des attentes envers lui et malgré quelques ajustements à faire autant offensivement que défensivement, on peut dire que l’arrivée d’Anthony Volpe à seulement 21 ans chez les Yankees de New York est un succès.
Ce qui l’a aidé à faire le saut dans la MLB est peut-être un appel opportun d’un certain Derek Jeter avant le début de la présente campagne. Disons que celui qui a placé l’appel connait tous les rouages du poste d’arrêt-court avec les Bombardiers du Bronx et tout ce que cela implique.
Volpe avait déjà eu quelques rencontres avec Jeter en tant que fan, mais c’était la première fois qu’il avait vraiment l’occasion de parler avec lui. Comme on peut l’imaginer, Volpe était ravi de cette occasion avec son idole de jeunesse.
C’était assez génial. Lui parler était assez incroyable. Il m’a dit qu’il suffit seulement de jouer et de s’amuser. Et aussi d’en profiter. J’essaie vraiment de le faire.
L’appel s’est fait à la demande du propriétaire de l’équipe, Hal Steinbreinner, qui semble prendre de plus en plus son rôle au sérieux contrairement aux années passées.
D’ailleurs, chaque mois, il organise des réunions à huis clos avec Aaron Judge, Gerrit Cole, Brian Cashman et Aaron Boone pour avoir une idée de ce qui se passe réellement à l’intérieur du club.
Je pense que c’est un exercice sain d’avoir le leader des joueurs de position et le leader des lanceurs dans la salle avec Cash, Aaron et moi et écouter simplement leurs préoccupations et ce qu’ils pensent de tout et de ce que nous pourrions améliorer.
Disons que cela fait changement avec la philosophie qu’il laissait présager par le passé, à savoir d’engranger des revenus sans trop se soucier de la qualité de l’équipe sur le terrain. Restera à voir si cela se transposera en victoires, dont celles lors de la danse automnale.
- Franmil Reyes se trouve du boulot.
- Vladimir Guerrero Jr. va mieux.
