Charlie Montoyo a refusé toutes les demandes d’entrevues cette semaine à Toronto

Cette semaine, Charlie Montoyo est de retour à Toronto, cette fois sous les couleurs des White Sox à titre de coach de banc.

Hier, on l’a notamment vu jaser un brin avec Vladimir Guerrero Jr. avant le deuxième duel de la série. Mais sinon, on constate que son retour ne fait pas exactement jaser.

Montoyo said Vladdy told him he “loved him,” and when WhiteSox coach Daryl Boston came over to say hi, Vladdy pointed to Montoyo and told Boston, “he’s like my dad.” https://t.co/dpakeJKQts

— Hazel Mae (@thehazelmae) April 25, 2023

Ce qu’il faut savoir, c’est que Montoyo ne peut pas contrôler ce que les Jays font, mais il peut contrôler ce que les médias font avec lui.

Et la consigne était claire : il a demandé à ne passer aucune entrevue.

Curious how unusual it is for a fired manager to come back as a bench coach and not speak to the media. Can’t remember if Gibby did when he returned with KC. Mattingly seems to have not said a lot since parting ways with Miami — will he when the Jays go there in June?

— Andrew Stoeten (@AndrewStoeten) April 24, 2023

Dans les faits, on va s’entendre pour dire que c’est assez inhabituel pour un entraîneur de banc adverse d’agir de la sorte à son retour dans une ville importante de sa carrière. Pourquoi Montoyo a-t-il fait cela?

Aucune idée.

Peut-être que ça s’est mal fini avec l’organisation et qu’il ne veut pas avoir à en parler, mais de toute manière, je ne crois pas que les journalistes aient envie de juste parler du négatif.

Après tout, il y a eu du bon sous Charlie à Toronto. Mike Wilner, par exemple, voulait le questionner sur le retour à la maison en juillet 2021.

I would say it's more than kind of odd. Gibby was approachable and happy to talk when he came back. Mattingly has done lots of interviews. I would have liked to talk to Charlie about his departure and, moreso, about the opportunity he got here and the 7/30/21 return home game.

— Mike Wilner (@Wilnerness) April 24, 2023

Mais bon. Pour l’instant, Montoyo est bien à Chicago, là où il est clairement apprécié à sa juste valeur par le géranr Pedro Grifol.

Grifol ne connaissait pas Montoyo personnellement, mais il était quand même « le seul nom sur sa liste » quand est venu le temps de penser à un entraîneur de banc.

Pourquoi? Parce qu’il cochait toutes les cases.

Je souhaite à Montoyo de trouver le bonheur à Chicago et, si c’est ce qu’il veut, d’avoir des entrevues ici et là pour diriger à nouveau un club de balle.