Max Scherzer n’a jamais eu peur de se chicaner avec les arbitres. Quand il a quelque chose en tête, il n’a pas peur de se défendre.
Avec le nouveau cadran, certaines frustrations sont nées chez Scherzer. Et voilà qu’à son deuxième départ avec sa nouvelle équipe, hier, MadMax s’est fâché.
Le lanceur vedette a reçu une violation du cadran pendant l’entre-manche pour avoir pris trop de temps à se préparer. Et ce qui le fâche, c’est que l’arbitre lui avait dit qu’il pouvait effectuer son huitième lancer.
À la fin de la septième, il est allé voir l’arbitre pour s’expliquer… en étant plus ou moins calme.
Ce qui est frustrant, c’est que l’arbitre m’a dit que j’avais un tir de plus, et puis soudainement, c’est maintenant de ma faute.
Je dois faire quoi?
– Max Scherzer
À ses yeux, le tout revient à un problème de sécurité des joueurs. Un lanceur, à ses yeux, devrait avoir le droit à son nombre de lancers habituels pour se préparer.
C’est ce qui explique sa colère malgré la victoire des siens à Oakland.
Dans le cas qui le concerne, les frappeurs des Rangers ont mis fin à la demi-manche juste avant via un double-jeu étonnant. Scherzer n’était donc pas prêt aussi rapidement que d’habitude.
C’est ce qui a mené à la situation.
Le tout est quand même nébuleux. Après tout, si l’arbitre lui a bel et bien donné le droit de lancer une fois de plus, il est difficile de le punir par la suite. De l’autre, Scherzer voit le cadran.
Évidemment, son petit côté syndical ressort chaque fois qu’il se chicane avec un arbitre. Mais comme nous n’en sommes qu’au premiers mois du cadran, ça prend ces discussions-là.
- Une belle photo.
- Carlos Rodon est en mesure de lancer.
- Shohei Ohtani : les Giants, un bon fit sur le monticule?
- Edwin Diaz progresse.
- David Ortiz aurait aimé en donner plus aux fans des Red Sox.
