Tout va bien.
En ce moment, Ken Griffey Jr. est le quatrième plus haut salarié des Reds de Cincinnati… et ce, même s’il n’a pas joué pour le club depuis 15 ans.
Ce qu’il faut savoir, c’est que le club et le joueur ont un arrangement pour que la légende touche de l’argent en différé. Cette saison, il touche donc 3.5 M$.
Et ce, même si l’entraîneur des frappeurs de l’équipe américaine à la Classique mondiale de baseball n’a pas joué dans les Majeures depuis 2010 et n’a pas joué à Cincinnati depuis 2008.
Le problème? Même si on parle beaucoup de Bobby Bonilla à New York, la différence est la suivante : cela n’empêche pas les Mets de dépenser.
Mais les Reds, eux, se menottent. Après tout, l’an passé, il était aussi l’un des hauts salariés du club.
Joey Votto (25 M$) et Wil Myers (6 M$) sont les seuls joueurs actifs du club qui sont mieux payés que Griffey Jr. en 2023 à Cincinnati.
Il faut cependant ajouter les 22 M$ offerts à Mike Moustakas pour qu’il soit un membre des Rockies du Colorado, lui qui a été libéré cet hiver.
Disons que ce n’est pas une masse salariale qui est exactement inspirante de la part de l’équipe avec la 27e plus grosse enveloppe salariale de la MLB. Seuls les A’s, les Pirates et les Orioles font pire.
Oui, ça fait parfois dur dans la MLB et les Reds de Cincinnati, de la façon dont ils sont gérés en ce moment, sont un bon exemple. Espérons que leurs partisans aient droit à mieux sous peu.
- De gros espoirs du club dans le AAA.
- L’enclos des Bisons de Buffalo sera redoutable.
- Raimel Tapia a fait sa place à Boston.
