Il n’y a aucun doute, Derek Jeter a connu l’une des plus belles carrières de l’histoire de la MLB, comme en témoigne son intronisation au Temple de la renommée de façon unanime (oui oui, unanime, car il ne vaut pas la peine d’accorder de l’attention à l’électeur imbécile et anonyme qui est trop peureux pour se dévoiler).
Cependant, il ne pouvait tout faire en même temps. En effet, l’analyste du réseau Fox Sports a rejoint ses collègues, Erin Andrews et Charissa Thompson, dans le dernier épisode du podcast Calm Down et a expliqué pourquoi il était trop égoïste pour fonder une famille au cours de son illustre carrière de 20 ans dans le baseball majeur.
Je vais être honnête avec vous. Je n’aurais jamais pu avoir d’enfants au cours de ma carrière. Je n’aurais tout simplement pas pu le faire. J’étais beaucoup, beaucoup, beaucoup trop égoïste. Je me concentrais uniquement sur ma carrière.
Selon l’ancien capitaine des Yankees de New York lui-même, il n’aurait pas pu donner à ses enfants ce qu’il a reçu de la part de ses propres parents.
Et vous savez, une chose, je suis un peu partial, je pense que j’ai les meilleurs parents au monde, mais la seule chose que je peux dire à propos de mes parents, c’est qu’ils étaient toujours présents.
Maintenant, les Jeter sont parents de trois filles (Bella Raine, 6 ans, Story Grey, 4 ans, et River Rose, 2 ans) ainsi que d’un fils, Kaius Green, né en mai 2023.
Le couple qu’il forme avec la mannequine Hannah Davis est assez discret sur sa vie personnelle, mais la légende des Bombardiers du Bronx s’est ouverte sur ce à quoi ressemble une journée typique dans la maison des Jeter.
Je ne dors plus. Quand je jouais, je dormais beaucoup. J’entends tout, même quand il n’y a rien à entendre, je crois entendre les bébés pleurer et crier. Je me lève tôt et je me couche tôt. Nous réveillons les grandes filles, elles prennent leur petit-déjeuner et je les dépose à l’école à 7 h 30.
Jeter a également déclaré qu’il ne voudrait pas qu’il en soit autrement, malgré tout le brouhaha. Une nouvelle vie complètement différente de l’ancienne, mais tout aussi enrichissante.
