En ce moment, ça va mieux à New York, chez les Mets. Le club reprend du poil de la bête et a de plus en plus l’air d’une équipe qui peut se battre pour faire sa place en séries.
J’ai toujours pensé, dans une équipe, que le leadership venait d’en haut. Et en ce moment, avec David Stearns et Carlos Mendoza pour diriger les opérations baseball et le club sur le terrain, les Mets sont en voiture pour la suite des choses.
Ajoutons à ça un Francisco Lindor qui a le pouls de son club et ça part bien…
Stearns est un gars qui a fait ses preuves à Milwaukee, mais Mendoza en est à sa première année comme gérant dans le baseball majeur. On avait donc hâte de voir comment il allait s’en sortir.
Et visiblement, ça ne va pas si mal.
Selon le journaliste John Harper, qui a jasé à des gens qui travaillent avec le gérant au jour le jour au Citi Field, il a le respect de ses gars. Et un bon exemple, c’est sa gestion du dossier Edwin Diaz.
Publiquement, le gérant a défendu son lanceur, suspendu pour avoir utilisé des produits collants sur le monticule. Il n’a pas lancé son closer sous l’autobus devant les médias.
Mais derrière les portes closes? Il demande de l’imputabilité.
Carlos Mendoza a défendu Edwin Diaz publiquement, mais le club sait qu’il est fâché à son endroit.
– John Harper sur Edwin Diaz
Diaz n’est pas le premier joueur des Mets à être suspendu pour ça (il est le troisième depuis la mise en application du règlement) et Mendoza veut clairement faire comprendre à son club que ça ne passe pas.
La ligne est mince pour ne pas perdre le respect de ses hommes et à court terme, ça se passe visiblement bien.
- Une machine.
- Un nom à surveiller à Cleveland : Jhonkensy Noel.
- 10 matchs de suite avec au moins un point produit.
- Blue Jays : leur match a été suspendu à Boston. Il sera repris le 26 août.
- Une machine.
