Maintenant que la date limite des transactions est passée, tous les yeux sont tournés vers la fin de la saison et les séries éliminatoires.
Et cela risque de donner tout un spectacle d’ici l’automne.
Si les jeux sont faits dans la section Est de la Ligue nationale, c’est une tout autre chose dans la section centrale, alors que deux matchs et demi séparent la première position occupée par les Brewers de Milwaukee et le troisième échelon que les Cubs de Chicago ont en main.
Ce sera donc une lutte à finir, puisque deux de ces trois formations risquent de participer aux séries éliminatoires, les Reds de Cincinnati occupant présentement la dernière place donnant droit à une participation à la danse automnale.
On aura droit à du baseball tout aussi excitant du côté de la Ligue américaine. Et une particularité vient amener de l’eau au moulin.
En effet, il sera intéressant de voir quelle équipe terminera au sixième rang, soit la dernière place de meilleur deuxième.
Pourquoi?
Parce que cette formation aura un avantage sur papier. C’est qu’en terminant à cet échelon, l’adversaire de première ronde s’avérera être le champion de la division centrale, donc probablement les Twins du Minnesota, considérant le pas de recul des Guardians de Cleveland.
Puis lors du deuxième tour, le champion de la division Ouest serait au menu, et non celui de l’Est, qui risque d’être au sommet de l’Américaine. En date d’aujourd’hui, les Rangers du Texas rempliraient le rôle de deuxième tête de série.
Il s’agit d’un chemin beaucoup facile (je réitère que ce n’est sur papier) que d’affronter les Astros de Houston et les Orioles de Baltimore coup sur coup si on prend le classement en date d’aujourd’hui.
Présentement, les Blue Jays de Toronto (qui ont de la misère contre les équipes de leur division) occupent cette position avantageuse, mais bien des choses peuvent changer d’ici le mois d’octobre et cela donnera droit à du gros baseball.
- Adam Ottavino veut revenir avec les Mets en 2024.
- Clayton Kershaw s’approche d’un retour.
- Trey Mancini devient libre comme l’air.
- Toujours pas d’échéancier pour Mike Trout.
