Austin Martin : « Je me sens à la maison »

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Maxime Lauzier

Publié le 18 juillet 2020 à 8h00

L’un des plus grands espoirs de l’organisation des Blue Jays n’est arrivé en ville que depuis quelques jours, mais affirme déjà se sentir « à la maison ».

Réclamé au cinquième rang du dernier repêchage par les Blue Jays, Austin Martin a immédiatement créé un vague d’engouement. Après tout, plusieurs s’attendaient à le voir être sélectionné dans le top-3, voire au tout premier échelon de la séance.

Venant tout juste de commencer à s’entraîner chez les professionnels en attendant le début de la saison régulière, Martin a été invité à l’émission Tim & Sid du réseau Sportnet afin de discuter un peu de son expérience avec l’équipe jusqu’à maintenant.

https://twitter.com/Sportsnet/status/1284259319983284226

Celui qui a récemment signé un contrat de recrue à bonus record explique se sentir amplement à l’aise au Canada, même si la situation actuelle rend le processus quelque peu exceptionnel.

« Tout le monde dans cette organisation a été vraiment accueillant. J’ai été très impressionné. Je me sens à la maison. »

– Austin Martin

Par exceptionnel, il est entendu qu’en aucune circonstance régulière, Martin aurait pu faire partie du 60-man roster durant quelques semaines, seulement un mois après avoir été repêché.

https://twitter.com/Sportsnet/status/1284300509046870016

Le troisième but de 21 ans compte donc capitaliser sur cette chance et profiter au maximum de ce que peuvent lui apprendre les vétérans qui l’entourent avant de prendre le chemin des mineures, le 24 juillet prochain.

S’il ne se dirige pas vers un joueur en particulier, Martin qualifie le groupe dans son ensemble d’hospitalier, amical et compréhensif.

« Me tenir avec ces gars, être capable de m’instruire à partir de leurs connaissances un peu, c’est un grand moment d’apprentissage pour moi. »

– Austin Martin

Les Blue Jays débuteront officiellement leur saison 2020 contre les Rays le 24 juillet, mais ce sera sans Martin. Le gérant Charlie Montoyo estime que l’ajouter immédiatement à la formation principale serait précipité, ajoutant que son poulin serait prêt d’ici « un ou deux ans ».

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