Ceux qui parcourent mes billets de façon régulière sont sans aucun doute conscients que mon joueur favori demeure Max Scherzer. Mad Max me procure une tonne de frissons chaque moment qu’il piétine le monticule. À mes yeux, il est le meilleur artilleur du circuit. De la maîtrise, de l’étoffe et du caractère comme pas un, ça décrit parfaitement le numéro 31 des Nationals de Washington.
Max a tellement de caractère, qu’il trouve toujours une façon de s’imposer lorsqu’il joue le rôle de frappeur. Il sait comment appuyer sur l’embrayage au bon moment. Dans le rectangle des frappeurs, il devient presque aussi intimidant que sur la butte. Ce n’est pas une farce et je ne sors pas ça du champ gauche puisqu’il y a une statistique afin d’appuyer mes propos.
OK. Mais encore?
Le facteur clutch
Il chauffe les foufounes de Mike Trout dans une catégorie que nous pouvons nommer « clutch ». Avec des coureurs en position de marquer ainsi que deux retraits à la fiche de son équipe, il mène les Majeures avec un certain Mike Trout. LE meilleur joueur de la planète. N’oubliez pas une donnée importante ici : Max Scherzer n’est pas un joueur de position et un frappeur régulier. Il demeure un monstre sur le petit mont, qui souhaite également soutenir son équipe lorsqu’il se présente au marbre afin de frapper les balles « artillées » par ses adversaires.
Bref, Scherzer demeure un guerrier, un gars tellement bien préparer, que cette statistique n’est guère surprenante. Par contre, n’oubliez pas que cet exploit qu’il a réalisé a été effectué en pas mal moins d’apparitions au bâton que monsieur La Truite.