Jordan Groshans a travaillé sur l'aspect mental du baseball cet hiver

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Charles-Alexis Brisebois

Publié le 5 mars 2022 à 12h00

On a beau se demander ce que Jordan Groshans sera en mesure d’amener aux Blue Jays (ou aux Bisons de Buffalo, en fait) en 2022 offensivement et défensivement, mais on sait que tout part de la confiance.

Et ça, Groshans l’a réalisé.

Après tout, si un joueur ne joue pas avec confiance sur le terrain, rien de grandiose ne pourra arriver. Il faut donc s’assurer d’être absolument sharp mentalement afin de pouvoir tout donner.

Voilà pourquoi l’espoir des Blue Jays a choisi de travailler sur l’aspect mental de la game et sa gestion des attentes lors de la saison morte.


Par le passé, il se mettait énormément de pression parce qu’il est un choix de premier tour du club. Ceci dit, la saison manquée en 2020, les blessures du passé et la COVID-19 qui a frappé fort chez lui en 2021 sont tous des facteurs qui font en sorte que le joueur n’était pas parfaitement à sa place en 2021.

Voilà pourquoi il s’est dit qu’au lieu de simplement « fixer son élan » ou quelque chose du genre, il a choisi la voie de travailler mentalement.

Il a donc appris que c’est beau de se fixer d’énormes attentes, mais que s’il arrive en dessous avec des performances malgré tout décentes, il peut quand même être content de ce qu’il arrive à faire.

En 2022, il sera dans le AAA, à un appel du baseball majeur. Est-ce que le joueur sera en mesure de livrer la marchandise contre des hommes et non pas contre des espoirs?

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