Agents libres internationaux 2023 : Toronto en position de signer l'un des gros noms

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Charles-Alexis Brisebois

Publié le 31 janvier 2022 à 14h13

Au cours des dernières semaines, on a parlé des agents libres internationaux qui ont signé dans le baseball majeur. Rappelons que les joueurs qui ne sont pas natifs du Canada, des États-Unis et de Porto Rico ne doivent pas passer au repêchage et sont plutôt signés.

Les Yankees et les Nationals ont signé les plus gros noms du marché 2021-22, donc.

Agents libres internationaux : les gros noms iront à New York et Washington
De leur côté, les Blue Jays ajouteront un jeune receveur à leur banque d’espoirs.

De leur côté, les Blue Jays ont mis sous contrat plusieurs espoirs, mais aucun parmi les meilleurs du marché.

Ceci dit, l’an prochain, ça devrait changer. Pourquoi? Parce que le club devrait signer l’un des plus gros noms de la cuvée.

Et non, je ne parle pas du frère de Juan Soto.

Selon plusieurs sources, le nom du voltigeur Emmanuel Bonilla, un des quatre gros espoirs de sa cuvée, devrait faire partie de la banque d’espoirs du club dans un an, soit en janvier 2023.


Les Mariners (l’arrêt-court Felnin Celesten), les Padres (le receveur Ethan Salas) et les Yankees (le voltigeur Brandon Mayea) devraient mettre la main sur les autres. Oui, avec ces gars-là, on a souvent des indices un an d’avance.

Qui est Emmanuel Bonilla, donc?


On parle d’un voltigeur (pas de centre, mais qui peut jouer dans les coins) qui a un gros bâton et un gros bras. Le jeune homme, qui est encore un adolescent, mesure déjà six pieds et trois pouces en plus de peser 205 livres.

On le dit puissant au bâton, mais il n’est pas qu’un monstre de puissance. Ce qui le démarque, c’est sa capacité à devenir un frappeur complet en raison de sa capacité à aller chercher le coup sûr. Il s’élance peu dans le vide.

Les recruteurs s’entendent pour dire qu’il ne devrait pas devenir un gars seulement puissant et que les chances de le voir percer comme joueur complet, avec plus d’un outil dans son coffre, sont bonnes.

Pour un club qui manque de profondeur dans les mineures au niveau du champ extérieur, cela pourrait être une (très) belle signature. Et comme il ne sera possiblement pas dans les Majeures avant quatre ou cinq ans, on doit se foutre du portrait actuel des choses.

Bonilla devrait recevoir un boni à la signature d’au moins quatre millions de dollars. Ne vous étonnez pas si, en 2022, les Blue Jays s’organisent pour avoir un bon montant à verser pour la prochaine classe d’agents libres internationaux – parce que oui, chaque club a un maximum pour ne pas voir les clubs riches signer tout le monde.

On doit donc s’attendre à voir les Jays miser plus que la qualité que sur la quantité dans un an.

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