Avec le contrat de Pete Alonso qui vient à échéance au terme de la présente campagne, la machine à rumeurs s’est emballée depuis le début de la saison. Les Astros de Houston par ici, les Cubs de Chicago par là…
Et le principal intéressé comprend les enjeux mieux que quiconque. Il sait qu’il pourrait être un candidat à se retrouver sous d’autres cieux si les Mets de New York se sortent de la course aux séries éliminatoires.
À l’heure actuelle, il y a beaucoup de choses qui pourraient arriver, et quoi que l’état-major et les propriétaires décident de faire, c’est leur prérogative. Mais pour moi, mon travail est de faire tout ce que je peux pour aider à gagner des matchs chaque jour. J’aime cette organisation, j’aime cette ville, alors je veux simplement faire de mon mieux chaque soir pour les gars dans le vestiaire et les partisans.
Cela n’empêche cependant pas Alonso d’affirmer haut et fort qu’il veut demeurer dans le Queens.
J’adorerais rester et je ne veux pas être échangé. J’adore New York. C’est chez moi. J’adore les Mets. J’adore être dans le Queens. C’est un endroit tellement spécial. Certains de mes meilleurs souvenirs, pas seulement de baseball, mais aussi de vie, ont été ici. Ça fait presque neuf ou dix ans, et la façon dont les partisans et l’organisation m’ont adopté dès le premier jour, c’est génial.
Avec les Mets pointant à trois matchs au-dessus de ,500 et se retrouvant actuellement dans le portrait de la danse automnale, il semble bien que le souhait de l’homme de 29 ans sera exaucé. À tout de moins pour cette année.
La formation new-yorkaise a déjà adressé l’une de ses lacunes majeures, soit l’enclos de relève, en faisant l’acquisition du vétéran droitier Phil Maton la semaine dernière.
On s’attend donc à ce que le propriétaire Steve Cohen ne demeure pas les bras croisés d’ici la date limite des transactions et ajoute d’autres pièces au casse-tête.