Pas plus tard que lundi, le directeur général des Astros de Houston, Dana Brown, a fait les manchettes lorsqu’il a déclaré qu’il écouterait les offres pour tous les joueurs de son équipe, y compris Kyle Tucker qui deviendra libre comme l’air au terme de la campagne 2025.
Et en l’espace de quelques heures, les Yankees de New York ont manifesté leur intérêt pour l’homme de 28 ans. Il semble maintenant que le dossier devient de plus en plus chaud, selon ce qu’avance Joel Sherman du New York Post.
En retour du voltigeur étoile, les Astros seraient entre autres grandement intéressés par la recrue de l’année dans la Ligue américaine, Luis Gil.
Le prix demandé par Houston ne doit cependant pas dépasser celui de Juan Soto l’an dernier, et ce, même si les Astros sont moins enclins à transiger leur poulain que les Padres de San Diego ne l’étaient dans la même situation et que les statistiques des deux joueurs se ressemblaient terriblement en 2024. Soto a affiché une moyenne au bâton de ,288 avec un OPS de ,989 tandis que Tucker a frappé pour ,289 avec un OPS de .993.
Les Yankees ont certainement de l’argent à dépenser après que le mercenaire à l’argent eut choisi de se joindre aux Mets de New York pour un contrat de 15 ans d’une valeur de 765 millions dollars, dimanche.
Peut-être qu’une partie de cet argent pourrait alors être mise de côté pour Tucker, qui devrait gagner 15,8 millions de dollars en arbitrage en 2025 et qui risque d’apposer sa signature au bas d’un faramineuse prolongation de contrat ou d’un nouveau pacte sous peu.
En plus des Yankees, les Cubs de Chicago, les Giants de San Francisco et les Phillies de Philadelphie sont sur les rangs pour acquérir les services de Tucker.
La présence des Cubs dans cette liste ne fait aucun sens, eux qui veulent se départir d’un voltigeur (Cody Bellinger ou Seiya Suzuki) en raison de la profondeur à cette position.
Et clairement, ils n’ont pas les moyens de leurs ambitions. Isaac Paredes et Seiya Suzuki, ce n’est pas assez, comme base.
- Alex Bregman, le prochain à signer?
- Cody Bellinger : les Cubs sont gourmands. Ils ne veulent pas retenir d’argent.