L’un des moments les plus marquants de la carrière de Jonathan Papelbon a été certainement sa bataille avec son coéquipier (à l’époque) Bryce Harper.
Alors que les Nationals de Washington étaient en action, Harper a frappé la balle en hauteur. Jusque là, ça va. Vu qu’il a frappé un ballon de routine au champ gauche, le voltigeur des Nats a plus ou moins couru vers le premier coussin.
À son retour au banc des siens, Harper a reçu la visite de son coéquipier, Papelbon. Les deux hommes en sont ensuite venus aux coups.
Après un bref échange verbal, le releveur a pris son coéquipier par le coup et l’a poussé vers le mur.
Au WEEI’s live BP Show, émission à laquelle Papelbon a été invité, il est revenu sur les incidents d’il y a six ans.
Jonathan Papelbon recalls what was said in infamous fight with Bryce Harper https://t.co/bNNLtpNb9p
— WEEI (@WEEI) January 17, 2022
Les deux hommes ne ressentent plus aucun remords envers l’un ou l’autre à ce jour, heureusement. Si aujourd’hui les deux athlètes ne sont plus fâchés, cela n’est pas arrivé du jour au lendemain.
Comme on l’apprend dans l’article ci-dessus, Papelbon semblait être un coéquipier animé. En effet, Harper n’est pas le seul avec qui le releveur a eu des problèmes.
Jason Varitek et lui se battaient. Quoi que cette « rivalité » ressemblait plus à des conneries entre frères qu’une réelle animosité.
Jonathan Papelbon – qui est sur les bulletins de vote du Temple de la renommée cette saison – est également revenu sur la fois où Bryce Harper est allé lui parler dans le dos devant les médias.
C’est juste une affaire où j’ai lancé sur (Manny) Machado. [Harper] est allé voir les médias sans me parler, en disant que c’était stupide parce que maintenant il va se faire lancer dessus, à son tour. Je l’ai rencontré dans le vestiaire et lui ai dit : « Je te protège ». J’ai dit : « je me fiche de ce que tu fais quand tout le monde le fait ». Mais quand je suis sur le terrain, ce truc de courir jusqu’à la moitié du premier coussin (sur un ballon au champ extérieur), ça n’arrivera pas. Fais ce que tu veux avec les autres, mais il y a une limite. – Jonathan Papelbon