Il n’est pas rare de voir un virus se propager dans un vestiaire de baseball. Après tout, les gars ont des familles et ils sont toujours ensemble dans le vestiaire et les avions, par exemple.
Il est donc normal que pendant quelques jours, un virus se propage dans une équipe.
Mais ce qui se passe chez les Blue Jays en ce moment est inhabituel. Pourquoi? Parce que le même virus qui circulait au camp d’entraînement fait encore rage.
Dans les derniers jours, il y a encore des gars qui ont été obligés de rater des matchs en raison de ce virus-là. Ça fascine le club que des mois plus tard, le problème ne soit pas réglé.
Les joueurs, au moins, n’ont pas tous été malade en même temps. Ça a donc, en un sens, évité de mettre le gérant John Schneider dans le trouble au milieu du problème.
Mais ça fait en sorte que le club ne s’en sort jamais vraiment.
Certains gars l’ont eu plus fort que d’autre et certains n’ont manqué qu’un match, mais j’imagine qu’un certain « climat de terreur » existe en ce moment à Toronto.
Personne ne veut attraper le virus, après tout.
Le problème, c’est que les gars ne sont pas placés sur la liste des blessés parce que ça ne dure pas 10 jours. On voit donc le gérant souvent diriger avec un banc plus petit que d’habitude.
C’est rare qu’on voit ça, donc.
