Quand Jose Berrios a accepté de signer un contrat de sept ans avec les Blue Jays de Toronto, il l’a fait en sachant qu’il allait être en mesure de pouvoir obtenir la balle lors de gros matchs importants.
Et même si les matchs significatifs sont encore loin (on devra attendre quelques mois pour une course aux séries), il y a le match d’ouverture qui s’en vient.
En ce moment, c’est Berrios qui est en voie de le lancer, si on regarde l’horaire des lanceurs au camp. Ceci dit, Charlie Montoyo n’a rien confirmé encore.
Mais Berrios, lui, a été clair : il veut lancer le premier match.
Le lanceur n’a peut-être pas lancé à Dunedin et à Buffalo comme Hyun-Jin Ryu, mais il est le meilleur lanceur du club sur papier.
Et surtout, il sait ce que ça prend pour être l’As d’une rotation.
Je sais qu’être un As, c’est plus que d’être le meilleur. C’est de toujours donner une chance de gagner et d’avoir une bonne attitude.
– Jose Berrios
Même s’il n’a pas des chiffres à tout casser au camp, c’est parce qu’il se pratique autrement avec le petit camp, mais il sait qu’il sera prêt.
Et en marge d’une vraie journée d’ouverture pour la première fois depuis 2019 à Toronto, il veut la balle. Celui qui est arrivé dans la Ville-Reine le jour du retour du club au Canada (pour le match du 31 juillet) sait ce que ça représente et il est prêt.
- Ouch.
- Ça va mal à Cincinnati.
- Marcus Stroman sait ce qu’il veut.
- Avec raison.
- Est-ce que cela aura un effet?