Ross Atkins, vous savez, est le directeur général des Blue Jays qui a pigé dans le buffet chinois du Tank. Eh bien, l’homme charismatique était à Montréal, avec son équipe. Il s’est présenté sur le terrain lorsque les siens s’échauffaient au bâton… s’est approché de la cage des frappeurs et s’est installé en arrière de celle-ci afin de jacasser avec ses pions.
Il était souriant et radieux. Des tapes sur les épaules, des poignées de mains franches, des sourires et une chimie évidente avec son gérant, John Gibbons. Les deux hommes ont échangé, affichant un large sourire. Le manitou et Russell Martin se sont entretenus et le respect était palpable entre les deux hommes. Oui. J’étais collé sur la clôture à observer ça de près.
Après son tour au bâton, Vladimir Guerrero Junior s’est permis un petit sourire et une pincée de mains au passage. Où je m’en vais avec mes skis? Pas trop loin. Le but ici est de démontrer les qualités de cet homme que plusieurs ont critiqué récemment. Un homme de « famille »qui suit ses enfants et qui prend du bon temps avec eux. Moi, j’aime ça.
Le trajet d’Atkins ne s’est pas arrêté là. Lorsque les Cards se sont présentés pour leur BP, Atkins a salué Brett Cecil au passage lorsqu’il se dirigeait vers l’abri des Cards, où son homologue Michael Girsch semblait l’attendre. Girsch, le directeur général des Cards, a aussi fait le voyage. Coïncidence… ou non? Tout dépend de chacune des visions au sujet du hasard. Pour ma part, j’ai de la difficulté à y croire. En zieutant les deux hommes discutés, je ne pouvais m’empêcher de me remémorer les spéculations au sujet de Donaldson.
Parce que, souvenez-vous, des rumeurs intenses envoyaient Bringer dans le Missouri, l’automne dernier. Ces rumeurs ont même circulé pendant le dernier hiver… Retenez que la fenêtre s’est rouverte du côté de St.Louis et que ceux-ci chercheront certes à greffer un autre joueur d’impact s’ils sont en bonne posture en juillet… ou même avant.
N’oubliez pas, on jase là!
