Hier soir, on s’installe pour dormir, mais puisque nous sommes fidèles à nos habitudes, Rouquine et moi avons fouiné sur les réseaux pour examiner les nouvelles au sujet de notre sport, le baseball.
Voici la première chose sur laquelle mes yeux se sont aussitôt rivés :
.@mookiebetts has his hands full this year. 😅 pic.twitter.com/8RutmHmnJJ
— MLB (@MLB) 16 novembre 2018
Une oeuvre de Mookie Betts qui porte son MVP, son Gant doré, son Bâton d’argent, son trophée des champions et surtout, sa petite fille (née neuf jours à la suite de la Série mondiale). Au premier coup d’oeil, tu dis : Wow, ce dessin de Betts avec tous ses honneurs représente parfaitement l’homme et l’athlète. Toutefois, avec quelques recherches supplémentaires, cette photo ne présente pas uniquement les honneurs individuels et les honneurs collectifs qu’a récoltés Mookie Betts. Ça souligne un fait historique, une page d’histoire, un moment fort de notre sport.
Avec cette multitude d’exploits, le voltigeur est devenu le second joueur de l’histoire à rafler ces quatre honneurs-là. Le premier qui a recueilli tout ça fut Mike Schmidt, alors qu’il évoluait chez les Phillies de Philadelphie, en 1980. Ça remonte à loin, très loin. Les deux hommes se retrouvent donc seuls à ce chapitre. Mais… avec la naissance de sa puce, Mookie Betts a un petit avantage sur Schmidt. Quoique l’ancien troisième-but des Phillies a également raflé le titre de MVP de la Série mondiale. OK. Ils sont du même niveau à ce chapitre, mais Betts a connu une saison régulière encore plus historique que celle réalisée en 1980 par l’homme à la moustache.
Au final, Betts, un individu très humble, doit déjà penser à la prochaine campagne (2019). Tous les titres qu’il a empochés ne lui ont certes pas monté à la tête, donc son travail acharné se poursuivra pour la suite de sa carrière.