Quand la fille de Vladimir Guerrero Jr. a demandé à son père si la famille allait devoir quitter Toronto, le père de famille a réalisé, encore plus, à quel point la ville ontarienne était importante pour lui.
Évidemment, la décision était surtout entre les mains des Blue Jays, qui devaient céder ou pas à ses demandes, mais bon.
Vladdy, lui, s’est notamment tourné vers son père à lui afin de l’aider à s’enligner pour la plus importante décision de sa carrière de joueur de baseball. Que devait-il faire?
Bien sûr, son père ne peut pas savoir ce que c’est que de voir son équipe de base le retenir. Mais il sait, par contre, ce que c’est que d’être en demande dans le baseball majeur.
Ses conseils? Faire confiance à Dieu et…
Et s’assurer d’aller soutirer aux Blue Jays chaque dollar possible. Clairement, le père a compris, au fil des années, que le baseball était une business et que Junior ne devait pas se faire piéger.
Mais bon. Clairement, quand on analyse le contrat, on voit bien que le joueur de premier but ne s’est pas exactement fait avoir non plus. 500 M$ sans argent différé, c’est du stock.
C’est la même chose pour le 325 M$ en boni.
En gros, il va recevoir 175 M$ en salaire et le reste, d’ici 2039, sera touché en bonis. Ainsi, il sera moins imposé au Canada et plus en Floride et il se protège en cas d’arrêt de travail.
Il a écouté son père, je pense, puisque le contrat est à son avantage.
