Comme vous le savez, Luis Rojas a profité du scandale des Astros (qui semble avoir eu lieu il y a des dizaines d’années tellement il s’est passé des choses depuis) pour prendre le poste de gérant des Mets, laissé vacant par Carlos Beltran.
Luis Rojas, c’est bien évidemment le fils de Felipe Alou, le légendaire gérant des Expos.
À titre de membre de la famille Alou, il a le baseball qui lui coule dans les veines. Il a beaucoup d’expérience de vie, que ce soit via sa famille ou via son expérience personnelle.
Mais il y a un aspect qui, malgré toute l’expérience du monde dans les mineures, le place dans une situation pas facile : la COVID-19.
En raison de la pandémie, Rojas devra faire ses débuts dans le cadre d’une saison qui donnera un mal de tête même au gérant le plus expérimenté du circuit.
Pour se préparer, il a donc lu des livres…
… et il a demandé conseil à son père.
Quand son père est un gérant émérite, il est logique de se tourner vers lui. Il lui a donc demandé comment gérer une saison de 60 parties versus une de 162 matchs.
La comparaison qui est ressortie, c’est que le gérant des Mets devra travailler comme dans la Ligue d’Hiver du Mexique. Là-bas, il s’agit d’une courte saison, où chaque match est important. C’est ce que Rojas devra appliquer lors de sa saison à New York.
Évidemment, on sait qu’un bon départ sera nécessaire. Après tout, la division sera relevée… et les Mets ne pourront pas compter sur Noah Syndergaard pour seconder Jacob deGrom.
Rappelons par ailleurs que Alou a géré la saison 1995, qui était une saison écourtée. Pas autant que celle-ci, mais quand même.
- Les Jays ne sont qu’à une lettre gouvernementale de poursuivre leur camp à Toronto.
- À mijoter.
- Il y a des cas de COVID-19 à Cincinnati.
- Les Yankees seront en forme.
- Perte importante pour les Cubs.
