Effet Buster Posey : « les Giants sont gérés par le leadership, pas les mathématiques »

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Charles-Alexis Brisebois

Publié le 1 mai 2025 à 20h30

Les Giants ont un excellent début de saison. Pourquoi?

Évidemment, dans tout ça, il y a l’effet Buster Posey. Ce n’est pas un hasard si l’organisation en arrache chaque fois qu’il n’est pas impliqué de près avec le club et que ça va bien quand il a les mains dans la pâte.

C’est lui qui a convaincu Matt Chapman de rester. C’est lui qui a amené Justin Verlander. C’est aussi lui qui a signé Willy Adames afin de faire de lui le joueur avec le plus gros contrat de l’histoire de la franchise.

Le record avant Adames, il appartenait à… Posey, justement.

Posey s’est donc entouré (notamment de Jeff Berry, son ancien agent) et il s’est mis au travail. Il s’est assuré de construire une belle équipe et d’avoir une vision qui ressemble aux belles années du club, quand il jouait.

Et le fait que Posey soit en charge et ait réussi à connecter avec les gars, ça aide à vendre sa vision.

Jeff Berry, justement, a parlé du fait que le club n’est pas géré par les mathématiques (donc les stats avancées), mais bien par Posey et par le leadership qu’il amène.

Et à ce sujet, Jayson Werth, qui n’a pas la langue dans sa poche, est d’accord. « F*ck les maths » sont les mots qu’il a utilisés.

Pour le moment, il est clair que la recette fonctionne. Après tout, chaque soir, les Giants trouvent une façon différente de gagner et le club se maintient dans la course au sein de la coriace division Ouest de la Nationale.

Est-ce que cela durera? On verra.

  • Il ne veut pas quitter l’organisation des Red Sox.
  • Jake Burger dans le AAA.
  • Alek Manoah est devenu père.
Tags:

Buster Posey, Giants de San Francisco

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