Dave Roberts est sur le point de diriger une septième année avec les Dodgers de Los Angeles.
Souvent visé par les critiques des partisans, le gérant a toutefois su amener sa formation au prochain niveau en 2020, offrant à l’organisation des Dodgers un premier titre depuis 1988.
Depuis 2016, Roberts a mené son équipe à trois saisons de plus de 100 victoires. Il n’est pas sur le terrain pour y frapper la balle, certes. Mais il a toutefois son mot à dire dans les succès connus par sa troupe.
En 2022, Roberts en sera à la dernière année de son contrat. Le principal intéressé se dit toutefois confiant de recevoir une prolongation de contrat, et le scénario pourrait se réaliser avant même que la prochaine saison débute.
C’est ce qu’on lit dans ce papier de The Athletic :
Dave Roberts spent the past few months traveling, golfing, trying intermittent fasting — and not fretting about the high-class problems of the Dodgers. He took time to reset, because he expects to manage beyond 2022. A new deal? “It’ll get done,” he said. https://t.co/bRoIZspN0Z
— Andy McCullough (@ByMcCullough) February 8, 2022
Être gérant des Dodgers n’est pas une tâche facile, raconte l’homme qui fêtera ses cinquante bougies en mai prochain. Après tout, la formation qui s’aligne à Los Angeles est l’une des plus prestigieuses du baseball majeur et du sport en général.
Il comprend par contre à quel point il aime son emploi et se dit encore très heureux dans ce qu’il fait. Et lorsqu’il ne le sera plus, « il sera facile de s’éloigner de la game », comme il l’a raconté à Andy McCullough, le journaliste qui a tapé l’article en question.
Il faut dire que Roberts est bon dans ce qu’il fait. Il a remporté le titre de gérant de l’année à sa toute première année dans la MLB en 2016 et a, comme je le disais plus tôt, mené son équipe à de longues présences en séries éliminatoires.
Le fait qu’il n’ait jamais connu un pourcentage de victoire sous .550 parle de lui-même.
Dans son cas, il ne lui reste qu’à attendre avant que l’offre de contrat soit déposée sur son bureau. Et en se fiant à ses commentaires, il va l’accepter sans même devoir y penser.
