Une vieille histoire vient de refaire surface.
Après que les Red Sox aient gagné la Série mondiale de 2018, ils ont été invités à aller faire un tour à la Maison-Blanche, comme c’est coutume pour des champions sportifs.
Et certains se souviendront que le gérant Alex Cora n’y était pas.
Plusieurs y avaient alors vu une attaque politique envers Donald Trump, qui était alors en poste. Cependant, le principal intéressé n’est pas du même avis, lui qui a décidé de ne pas y aller parce qu’il n’aimait pas le support que les États-Unis donnaient à son pays natal, Porto Rico, après l’ouragan de 2017.
À l’époque, il n’avait pas été clair sur ses intentions. Et récemment (au podcast The Mayor’s Office), il a simplement voulu clarifier qu’il ne voulait pas s’absenter en raison de Donald Trump, envers qui il n’a rien personnellement.
Il se sentait simplement mal de célébrer quand son pays en arrachait.
Cora n’était plus avec les Astros en 2018, quand ces derniers ont visité la Maison-Blanche suite à la Série mondiale de 2017. On ne peut donc pas comparer avec l’année d’avant.
On ne peut que le croire sur parole.
L’histoire devrait théoriquement s’arrêter là, mais Chipper Jones est tombé sur un texte qui résume la situation. Et visiblement, il voulait en rajouter et tirer un peu sur le scandale de vol de signaux, créé par Cora à Houston quand il était entraîneur de banc en 2017.
Il s’est donc demandé si, pour protester son absence de la Maison-Blanche en 2019, Cora a frappé sur une poubelle.
Évidemment, tout le monde qui suit le baseball comprend la référence de « frapper sur une poubelle » en lien avec ce qui s’est passé à Houston. Et clairement, Jones l’a toujours sur le coeur, des années plus tard. #VolDeSignaux
À ne pas inviter au même party : Jones et un voleur de signaux.