À peine remis de leur élimination un peu décevante face aux Diamondbacks de l’Arizona en Série de championnat de la Ligue nationale, les Phillies de Philadelphie doivent se tourner vers l’avenir à court et moyen terme.
Et quand on parle de moyen terme, on pense tout de suite à Bryce Harper, et ce, même s’il reste encore huit ans au lucratif contrat de de treize ans et 330 millions de dollars que le joueur étoile a signé avec l’équipe de la ville de l’amour fraternel en 2019.
C’est que même si le pacte du gros cogneur était un record à l’époque, on maintenant le considérer comme une aubaine en ce moment, considérant les performances qu’Harper a mis au tableau durant les dernières campagnes.
En effet, le nouveau joueur de premier but a fait tout ce que sa formation pouvait espérer, à l’exception d’obtenir une bague de la Série mondiale. Un titre de MVP, des moments classiques en séries éliminatoires, un changement de position et vous avez tout ce que les organisations de la MLB rêvent.
C’est ce qui fait penser à son agent Scott Boras, encore lui, que le fait de ne pas avoir négocié une clause de sortie à son contrat n’était pas la bonne chose à faire et que d’entamer des discussions pour une prolongation de contrat pourrait faire du sens présentement.
Comme on pouvait s’y attendre, le président des Phillies Dave Dombrowski n’a pas commenté le dossier et ne le fera certainement pas.
Avec Zack Wheeler qui est sur le point de prolonger son contrat, Trea Turner qui vient de signer un gros pacte et Aaron Nola qui deviendra libre comme l’air dans les prochains jours, le moment n’est peut-être pas bien choisi pour Harper.
Mais avec Boras dans les parages, on peut s’attendre à tout.
