Comme l’a rapporté le journaliste Jon Heyman du New York Post, les Yankees de New York se sont enquis de la disponibilité de Blake Snell avant la dernière date limite des transactions, mais n’ont jamais été près de lui mettre la main au collet en raison de l’option de joueur de 30 millions de dollars incluse à son contrat pour 2025.
De plus, non seulement les Giants de San Francisco voulaient que l’autre équipe paie le salaire de l’as lanceur, mais ils désiraient aussi un espoir du top-100.
Les choses auraient cependant pu être différentes si les Bombardiers avaient été sérieux durant la saison morte. En effet, ces derniers ont eu des discussions avec le récipiendaire en titre du trophée Cy Young de la Ligue nationale, qui était libre comme l’air à l’époque, mais une entente n’a jamais été conclue.
Selon ce qui a été évoqué en mars dernier, le gaucher aurait reçu une offre de 150 millions de dollars de la part des représentants du Bronx cet hiver.
Cependant, comme l’a indiqué le principal intéressé au podcast Foul Territory hier (lundi), une offre a bel et bien été déposée par les Yankees, mais pas de la valeur avancée.
Ce qu’ils ont offert n’était pas proche de cela.
Cela fait du sens, puisque les Yankees se retrouvent actuellement dans la fourchette du seuil de 110% de la taxe de luxe, ce qui veut dire que tout contrat qu’ils auraient accordé à Snell aurait doublé de valeur en raison de la pénalité associée.
Cela aurait également rendu les choses beaucoup plus compliquées pour les New-Yorkais, eux qui espèrent conserver le voltigeur vedette Juan Soto à long terme. Il pourrait obtenir un pacte bien au-delà de 500 millions de dollars.
